Covid-19 et le respect

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Réponse immédiate du maire de Sassuolo qui prend position dans la polémique qui a surgi dans la commune sur le projet du conseiller à l’éducation présenté comme « contre la pensée unique ». Il n’y a aucune « intention » de financer des cours sans vax dans le cadre de projets d’éducation à l’analyse critique de l’actualité à destination des lycéens.

Des projets qui, cependant, seront examinés avant d’être approuvés. “La position de l’Administration a toujours été claire et ne fait absolument pas l’objet de discussions – écrit le maire Gian Francesco Menani -.

Respect total des règles qui, avec les vaccins, sauvent des vies en cette période de pandémie, confiance totale dans les professionnels de la santé qui depuis près de deux ans sont en première ligne pour lutter contre le absolu de l’autonomie des écoles avec une confiance totale dans le personnel enseignant”.

« Le vaccin sauve des vies – poursuit le maire – et pour cette raison, tout en respectant les décisions personnelles de chacun, nous invitons tout le monde à s’y soumettre car le Covid n’est pas encore vaincu et ce n’est que grâce à l’énorme travail des médecins et infirmiers qu’il parvient à contenir une situation qu’aucun d’entre nous ne veut redevenir comme l’année dernière.

L’autonomie scolaire est donc pour nous une valeur qu’il faut absolument respecter car les enseignants jouissent de notre respect et de notre confiance totale : pour cette raison, il n’y a absolument aucune intention pour ne financer ni cours ni projets de vax”.

Puis quelques précisions sur la résolution à laquelle se réfère la polémique, le numéro 218 du 16 novembre, qui – souligne Menani – ” met simplement 10 mille euros à la disposition des associations de promotion sociale et des organisations du tiers secteur dans le domaine éducatif-formatif

-culturel, régulièrement inscrits au registre régional, pour réaliser des projets d’ateliers ou de conférences pour les élèves du secondaire à Sassuolo d’enseignement en analyse critique de l’actualité. Projets qui seront examinés, avant d’être approuvés, par l’Administration elle-même ».

Le ministère de l’Éducation, de l’Université et de la Recherche a envoyé à notre institut la circulaire contenant les premières indications opérationnelles pour la mise en œuvre du décret-loi n.73 du 7 juin 2017, converti avec des modifications par la loi n. 119 du 31 juillet 2017, relative à la prévention vaccinale.

La circulaire s’ouvre sur une prémisse sur la loi et ses objectifs et se poursuit avec les indications pour les établissements d’enseignement, à commencer par celles pour la gestion de la phase transitoire prévue pour les années scolaires 2017/2018 et 2018/2019.

Les locauxLa loi – rappelle la circulaire – intervenant sur le caractère obligatoire des vaccinations, assure à l’ensemble de la population, de manière homogène sur l’ensemble du territoire national, les actions visant à la prévention, au confinement et à la réduction des risques pour la santé publique. L’extension de la vaccination représente donc un progrès dans la protection de la santé de la communauté et de chacun.

Le Parlement et le Gouvernement ont travaillé ensemble, dans la conversion du décret-loi, pour garantir que les écoles puissent collaborer à la protection de la santé collective, dans le cadre de leurs compétences et dans le plein respect du droit à l’éducation.

L’article 3-bis du décret-loi, ajouté lors de la reconversion, établit qu’à compter de l’année scolaire 2019/2020, après une première phase transitoire, ce sont les Autorités Locales de Santé (ASL), une fois reçues par les écoles la liste d’enregistrés et enregistrés jusqu’à 16 ans, de le retourner avec l’indication de ceux qui pourraient ne pas être en conformité avec les exigences de vaccination.

Pour le jardin d’enfants, le défaut de présentation des documents attestant le respect des obligations vaccinales entraînera la déchéance de l’inscription. Pour les degrés d’enseignement ultérieurs, en revanche, il n’y a pas de répercussion sur l’accès au service scolaire.

Le décret-loi, tel que converti, ne modifie pas la législation en vigueur du point de vue de l’accès à l’école : l’article 100 de la loi consolidée sur l’éducation de 1994 subordonnait déjà l’admission à l’école maternelle à la présentation du certificat de certaines vaccinations.

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