Se faire vacciner

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L’hypothèse de l’obligation de vaccination pour les professeurs (ou la nécessité du laissez-passer Vert, la différence n’est pas si marquée) reste solide à l’horizon, mais la décision ne sera prise que la semaine prochaine, évaluant également la puissance de la vague de infections.

Il est possible qu’elle soit imposée là où le pourcentage d’enseignants non vaccinés est élevé, comme en Sicile, en Sardaigne, en Calabre et en Ligurie. En attendant, nous commençons à réfléchir à une série de certaines mesures.PLUS D’INFORMATION

Masque dans la salle de classe où la distanciation ne peut être garantie (pratiquement partout dans les écoles italiennes) ; une forte poussée pour vacciner les enseignants non encore vaccinés et les élèves de plus de 12 ans ; renforcement du système de transport, jusqu’à l’hypothèse de l’utilisation des taxis et des CCN ;

l’embauche temporaire de personnel enseignant, pour regagner le terrain perdu par de nombreux enfants en raison des difficultés causées par l’enseignement à distance.Mattarella : «  est un devoir moral et civique. Le retour à l’école ordinaire doit être prioritaire”

Dans le Plan scolaire 2021-2022 transmis par le ministère de l’Instruction publique aux Régions, diverses recommandations du CTS, le comité technico-scientifique, sont incluses. Mais s’il s’agit d’un point de départ, nous déciderons la semaine prochaine d’aller plus loin, en prenant également en considération l’hypothèse dont le ministre de la Santé, Roberto Speranza, a évoqué ces derniers jours :

l’obligation de vaccination anti Covid pour les enseignants. «Ce sont des bilans que nous faisons dans ces heures. La réouverture de l’école en toute sécurité et sans papa est un objectif de tout le gouvernement », a déclaré Speranza. Tout dépendra de l’atteinte de l’objectif de 90 % du personnel vacciné sans obligation.

Un autre nœud qu’il faudra résoudre est celui dont avait parlé le conseiller à la santé d’Émilie-Romagne, Raffaele Donini : éviter l’enseignement à distance pour les enfants vaccinés.

Cette voie a déjà été empruntée par la France où, s’il y a un positif dans la classe, les enfants vaccinés pourront tout de même poursuivre les cours en présentiel, tandis que ceux qui ne sont pas vaccinés devront s’isoler et recourir à Apprentissage à distance.A ce jour, 85 % du personnel enseignant ou non enseignant ont reçu au moins une dose.

C’est un pourcentage important, mais il est mal réparti dans le pays, car il y a des régions comme la Sicile, la Sardaigne, la Ligurie et la Calabre bien en dessous de 70 pour cent. Du côté des étudiants, les chiffres sont encore faibles : entre 12 et 19 ans (il n’y a pas de vaccins autorisés avant 11 ans) moins de 32% ont reçu au moins une dose.

L’autorisation récente de Moderna également pour le groupe d’âge 12-18, qui rejoint Pfizer, peut aider à accélérer. C’est le scénario, mais au-delà des assurances et des bonnes intentions du document du ministère dirigé par Patrizio Bianchi, le retour des vacances des tout-petits et la réouverture subséquente des écoles peuvent provoquer de nombreux ralentissements de l’activité scolaire à chaque fois qu’il y a un cas positif en classe.

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